BBK Management

7 Étapes pour faire croître son Association

Un condensé en 7 étapes qui explique comment faire grandir son association. Cabinet BBK Management spécialisé dans les association sur Lyon.

Faire croître son association avec le cabinet BBK Management.

Avec plus d’ 1 Million d’associations en France, la vie associative française est riche, diversifiée et impliquée.

 

C’est en partie grâce à la fameuse loi de 1901 qui permet à tout citoyen d’adhérer ou non, librement à l’association de son choix que plus de 70 000 nouvelles associations sont ouvertes chaque année.

 

Avec 9 associations sur 10 qui ont un budget annuel de moins de 75 000 €, le challenge de chaque projet associatif est de taille…

 

D’autant que chacune d’elle a pour même objectif de maximiser l’impact de son action ! Nous nous sommes donc penchés sur les méthodes pour faire grandir une association.

 

7 Préserver l’engagement associatif 

 

Gérer une association, c’est avant tout gérer des personnes.

 

Qu’ils s’agissent d’associations sportives, étudiantes, ou citoyennes, les individus qui forment ces écosystèmes sont les ressources les plus précieuses de ces organismes.

 

Dans ce sens, fidéliser ses membres, adhérents, voire salariés, est vecteur d’engagement et contribue indirectement à la notoriété de l’association, en donnant les moyens à sa communauté interne de devenir ambassadeur et prescripteur.

 

Prenons pour exemple la création d’un espace réservé aux adhérents sur le site web de l’association ou l’accès à des newsletters exclusives qui peuvent être des actions qui justifient et suscitent l’intérêt pour l’offre d’adhésion payante de l’association.

 

On peut aussi imaginer l’instauration d’un tarif adhérent préférentiel selon l’agenda de l’activité ou réservé aux plus « anciens » adhérents.

 

Au même titre que l’accumulation des miles des clients de nombreuses compagnies aériennes, les années d’adhésion à une association peuvent être compensées par certains accès ou services exclusifs.

 

Le gouvernement travaille actuellement sur une certification dédiée à valoriser les compétences et connaissances acquises durant les périodes d’engagement du bénévole.

 

6 Assumer une fiscalité sans faille

 

Si une association est généralement à but non-lucratif et donc exonérée d’impôts ; elle peut être sous certaines conditions à but lucratif et donc imposable.

 

Cette variante implique une déclaration fiscale pour le règlement d’impôts commerciaux.

 

De plus, en fonction de son activité, l’association peut être également soumise à :

 

– la taxe foncière et d’habitation en cas d’occupation de locaux associatifs

 

– la redevance audiovisuelle (au même titre que le particulier) si une télévision est installée dans les locaux

 

– la taxe d’apprentissage pour les associations soumises à l’article 206 du code général des impôts

 

Compétent sur ces questions, votre cabinet d’expertise comptable est à même de conseiller fiscalement les associations.

 

5 Subventionné, mais pas que !

 

Si le financement est vital pour élargir le champ d’activité d’une association, les moyens d’augmenter son budget existent.

 

Par exemple, effectuer une veille mensuelle des réglementations pour profiter des subventions débloquées par le gouvernement ou l’administration locale selon sa politique associative.

 

Sachant que 85 % des associations se gèrent sans salarié et tirent leur budget de ressources privées grâces à des ventes réalisées durant des manifestations publiques (kermesses, buvettes etc…), le recours au bénévolat n’est pas incompatible avec le développement de l’entité.

 

L’appel aux dons n’est pas à négliger et les dernières mesures prises par le gouvernement (via la loi de finance de 2019) relève le seuil de dons déductibles possible par les TPE-PME à 10 000€ par an. Une opportunité pour le secteur associatif local !

 

Suivant le programme « Vie Associative » du gouvernement actuel rapporté en Mai dernier par Gabriel Attal (Secrétaire d’État au Ministre de l’Éducation), plusieurs projets de loi sont en cours de discussion à l’Assemblée Nationale, dont un label pour les plateformes de crowdfunding qui permettent le financement de causes d’intérêt général ainsi qu’un label de qualité du mécénat financier à destination des entreprises.

 

4 Décrocher le statut d’Association d’Utilité Publique

 

Elles sont un peu plus de 2 000 associations à être reconnues d’utilité publique selon le fichier édité par le Ministère de l’Intérieur.

 

Leurs activités, basées un peu partout en France, sont très hétérogènes, et vont de la pratique des Beaux-Arts à la lutte contre les maladies orphelines en passant par la restauration de monuments, ou la facilitation de l’accès à l’emploi des jeunes.

 

Cette reconnaissance, plus accessible qu’on ne pourrait le croire, est déterminée par décret en Conseil d’État et permet à l’association d’accéder à certains avantages.

 

Pour être reconnue, l’association doit :

– Rayonner au-delà du cadre local

– Compter au moins 200 adhérents

– Avoir un fonctionnement démocratique fixé par ses statuts

– Présenter une solidité financière stable sur les 3 derniers exercices

– Exercer une activité d’intérêt général

 

3 Animer son réseau avec des évènements

 

Le networking, se résume à l’activité de construire et entretenir des relations avec une communauté qualifiée par secteur en vue d’un objectif défini.

 

La meilleure préconisation possible à ce sujet est de cultiver son réseau avant de faire appel à lui.

 

À ne pas sous-estimer, les réseaux sont aussi diversifiés que les activités possibles en association, et leur force se mesure aux nombres d’interactions online (sur les réseaux sociaux) et offline (durant des évènements physiques).

 

Pour générer de l’engagement, susciter de l’intérêt et développer leur notoriété au sein d’un réseau, de plus en plus d’associations organisent des évènements de types colloques, soirées portes ouvertes, keynote ou soirée de networking.

 

Ce sont autant d’occasions de nouer de nouveaux partenariats, de capter de nouveaux adhérents ou même d’attirer de nouveaux financeurs.

 

Une fois l’objectif défini, un ensemble d’outils gratuits comme Eventbrite peuvent aider les associations à créer un évènement et gérer les inscriptions.

 

Le petit plus : correctement préparé, l’impact de l’évènement peut être multiplié via des posts sur les réseaux sociaux (avant, pendant et après l’évènement).

 

2 La communication, c’est la clé

 

Comme le résume bien l’adage « Seul on va plus vite, à plusieurs on va plus loin », la communication est le moyen de s’entourer, de capitaliser sur ses forces et de fédérer autour d’un projet, d’une idée ou d’une action.

 

La création d’un plan de communication avec des objectifs précis n’est pas exclusive au milieu de l’entreprise.

 

En France, les associations L1901 sont parfaitement autorisées à communiquer de manière physique et digitale.

 

Pour seulement quelques euros par jour, il est possible de promouvoir simplement sur les réseaux sociaux un article, un post ou une vidéo sur le plus grand réseau social du monde comme Facebook.

 

Un brief pourrait alors s’avérer utile au moment de construire une première publicité.

Brief de publicité par BBK Management

Exemple de Brief de Publicité

 

1 Être accompagné

 

Enfin, le choix des soutiens de l’association est capital, qu’ils s’agissent d’éventuels salariés ou de prestataires.

 

Toute organisation peut prospérer si elle s’entoure de personnes aux compétences aiguisées et dotées d’expériences significatives pour la guider vers ses objectifs.

 

Parce que les associations tiennent loyalement leurs engagements auprès de leur communauté, les conseillers de cette entité doivent avoir un investissement du même niveau pour atteindre la réussite dans le projet.

 

Choisissez un cabinet reconnu pour son engagement, qui connaît vos problématiques et qui accompagne une multitude de grandes associations plus loin que les missions de commissariat aux comptes, expertise-comptable et gestion RH-paie.

 

Pourquoi pas BBK Management ?

 

#supporter2leader

Un devis qui presse ?
Un renseignement ?
Une demande spécifique ?

3.9/5 - (56 votes)